En excès, les acides gras poly-insaturés (AGPI) présents en quantités importantes dans les huiles de graines et de noix et ces aliments perturbent le métabolisme énergétique à tous les étages.
Lorsque les membranes cellulaires sont trop insaturées, elles ne remplissent plus leur fonction séparatrice.
Dans nos mitochondries, les centrales énergétiques de nos cellules, la membrane interne remplit le même rôle que le mur d’un barrage hydro-électrique : elle retient les protons afin que ceux-ci ne puissent ressortir que par les turbines productrices d’énergie, les ATPase.
Le flux de protons au travers de ces turbines engendre la production d’énergie qui soutient la vie, l’ATP.
Si la membrane est trop perméable, le barrage fuit : la production énergétique est diminuée, inefficace.
Les AGPI perturbent le métabolisme de nombreuses autres manières (découplage d’urgence des mitochondries à cause du stress oxydatif trop important, perturbation du transport des hormones thyroïdiennes, etc.).
Les huiles végétales ne sont pas un aliment.
Lorsqu’ils sont présents à des niveaux élevés mais dans le haut de la plage physiologique, les oxalates engendrent une inhibition de 48% du cycle de Krebs, la voie principale de production énergétique dans nos mitochondries. En bloquant la respiration cellulaire, les oxalates nous empoisonnent au coeur même de notre biologie.
Lorsque tu te restreints en terme de calories, de glucides, de lipides ou de protéines, tu connais rapidement une baisse de ton métabolisme. Ton organisme se place en « mode survie ». Il cherche à préserver le carburant stocké sur toi en attente de temps meilleurs. Tes niveaux de vitalité, d’énergie, de libido s’écrasent et ton corps stocke un maximum de gras pour survivre.
Les solutions sont claires : consommes des aliments adaptés à notre espèce et en quantités suffisante ! Satisfais ton appétit où tu en paieras le prix.